Linking legislative openness to open data in Canada
Canadian Geographer / Le Géographe canadien
Published online on September 29, 2017
Abstract
Legislatures, those bodies of elected officials, are increasingly attuned to the rhetoric of open data for legislative content like bills and Hansards. This rhetoric dictates that government content should be freely accessible, repurposable, machine‐readable, standardized across subregions, and available without licensing restrictions. Canada offers an excellent example of renewed emphasis on openness across jurisdictions. The call for legislative openness also derives from open data advocates, who seek to apply the rules of open data to unstructured information. We do not know whether legislative openness in Canada, at the provincial and territorial level, matches the rhetoric of open data. This study focused on commonly occurring categories of information on subnational legislative websites, and examined their copyright, availability, archivability, information timeliness, and plain language descriptions. Legislatures were contacted about current practices in the form of a web survey with follow‐up phone interviews. We collected additional information via a web content analysis. Results indicated that a considerable amount of information was available, although generally at minimal levels of compliance and with significant variance across legislatures. Respondents expressed confusion about the extent of actual versus perceived openness of their information. We hope these findings provoke a subnational dialogue on legislative openness across Canada.
Les législatures, ces organismes de représentants élus, sont de plus en plus sensibilisées à la rhétorique des données ouvertes pour les contenus législatifs tels que les projets de loi et les comptes‐rendus des débats. Cette rhétorique stipule que le contenu gouvernemental devrait être accessible gratuitement, adaptable, lisible par machine, normalisé entre les sous‐régions et disponible sans restriction liée à l'octroi de licence. Le Canada offre un excellent exemple de regain d'ouverture entre les provinces et les territoires. L'appel lancé pour une ouverture législative découle également des promoteurs des données ouvertes qui tentent d'appliquer les règles des données ouvertes à l'information non structurée. Nous ne savons pas si l'ouverture législative au Canada, au niveau des provinces et des territoires, correspond à la rhétorique des données ouvertes. La présente étude a mis l'accent sur les catégories d'information les plus courantes sur les sites Web législatifs infranationaux et a examiné leurs droits d'auteur, leur disponibilité, leur qualité d'archivage, leur rapidité à publier de l'information et leurs descriptions en langage simple. On a communiqué avec les législatures au sujet des pratiques courantes lors d'une enquête sur le Web avec des entrevues de suivi par téléphone. Nous avons collecté de l'information additionnelle au moyen d'une analyse du contenu Web. Les résultats indiquaient qu'une quantité considérable d'information était disponible même si c'était généralement à des niveaux minimaux de conformité et avec des écarts importants entre les législatures. Les répondants ont fait part de leur confusion au sujet de l'étendue de l'ouverture réelle par rapport à l'ouverture perçue de leur information. Nous espérons que ces conclusions entraîneront un dialogue infranational sur l'ouverture législative à l'échelle du Canada.