For‐profit certifier's eco‐labelling is common in industries where firms have some “countervailing power” on sharing gains from labelling. We show that the certification standard for an environmental quality is lowered when firms have strong “power.” A certifier with too low bargaining power will prefer to sell to the best offer rather than bargain. This switch in the selling mechanism also thwarts his incentives in setting the standard. This is consequential for evaluating policies. The dimensions and even signs of welfare changes induced by taxes and subsidies depend upon the mechanism used, and ultimately upon firms’ countervailing power. Certification écologique par un certificateur à but lucratif: le pouvoir compensateur et ses conséquences. La certification écologique par un certificateur à but lucratif est une pratique commune dans des industries où les entreprises ont un certain pouvoir compensateur sur le partage des gains de cette certification. On montre que la norme standard de certification pour une certaine qualitéécologique est réduite quand les firmes ont un grand ≪ pouvoir ≫. Un certificateur qui a un pouvoir de marchandage trop faible va préférer vendre ses services au meilleur prix qui lui est offert plutôt que de négocier. Ce changement dans le processus de vente affecte aussi les incitations du vendeur dans sa définition de la norme. Voilà qui porte à conséquence dans l’évaluation des politiques. La taille et même le signe des changements de bien‐être déclenchés par des taxes ou subventions dépendent du mécanisme utilisé et, en dernière instance, du pouvoir de négociation des entreprises.