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Landlords, tenants, and the legal status of secondary suites in Hamilton, Ontario

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Canadian Geographer / Le Géographe canadien

Published online on

Abstract

Although secondary suites account for about a quarter of all rental accommodation in Canadian cities, we know little about their owners, occupants, or legal status. To address these issues, an online questionnaire survey of tenants, with follow‐up interviews, was undertaken in Hamilton, Ontario, in 2015. It revealed that most occupants of suites had incomes lower than the average for all tenants, and that the owners were equally divided between resident landlords, local absentee owners, and property owners living outside Hamilton. Almost half of all tenants were unsure about the legal status of their suite, possibly indicating their indifference to the issue. Illegal suites were concentrated in the properties with the fewest rental units. The tenants of smaller properties owned by resident landlords were more satisfied. Même si les logements accessoires représentent environ le quart de tous les logements locatifs dans les villes canadiennes, nous savons peu de choses au sujet de leurs propriétaires, de leurs occupants ou de leur statut juridique. Pour examiner ces questions, une enquête par questionnaire en ligne auprès des locataires, avec des entrevues de suivi, a été effectuée à Hamilton, en Ontario, en 2015. Elle a révélé que la plupart des occupants de logements accessoires avaient des revenus plus faibles que la moyenne pour tous les locataires et que les propriétaires étaient divisés à parts égales entre locateurs résidents, propriétaires locaux absents et propriétaires vivant à l'extérieur de Hamilton. Près de la moitié des locataires ne connaissaient pas le statut juridique de leur logement accessoire, ce qui pourrait indiquer qu'ils sont indifférents vis‐à‐vis cette question. Les logements accessoires illégaux étaient concentrés dans les propriétés possédant le moins de logements locatifs. Les locataires de plus petites propriétés appartenant à des locateurs résidents étaient plus satisfaits.