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Implementing partial tax harmonization in an asymmetric tax competition game with repeated interaction

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Canadian Journal of Economics/Revue canadienne d économique

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Abstract

This paper investigates the conditions under which partial harmonization for capital taxation is sustained in a repeated interactions model of tax competition when there are three countries with heterogenous capital endowments. We show that regardless of the structure of the coalition (i.e., full or partial tax coordination), whether partial tax harmonization is sustainable or not crucially depends on the extent to which the capital endowment of the medium‐sized country is similar to that of the large or small country. The most noteworthy finding is that the closer the capital endowment of the median country is to the average one, the less likely the tax harmonization including the median country is to prevail and the more likely the partial tax harmonization excluding the median country is to prevail. We also show that partial tax harmonization makes the member countries of the tax union better off and non‐member countries worse off, which stands in sharpe contrast with previous studies, such as Konrad and Schjelderup (1999) and Bucovetsky (2009). Mise en place d'une harmonisation fiscale partielle dans un jeu de concurrence fiscale asymétrique où les interactions sont répétées. Ce mémoire examine les conditions qui vont permettre qu'une harmonisation partielle d’une taxe sur le capital soit durable dans un modèle d’interactions répétées de concurrence fiscale dans un monde à trois pays dont la dotation en capital est hétérogène. On montre que quelle que soit la nature de la coalition (i.e., coordination partielle ou totale de la fiscalité) le fait que l’harmonisation fiscale partielle soit durable ou non dépend fondamentalement de jusqu’à quel point la dotation en capital du pays de taille moyenne est semblable à celle du grand ou du petit pays. Le résultat le plus remarquable est que plus la dotation de capital du pays médian est proche de la dotation moyenne, moins l’harmonisation partielle incluant le pays médian est susceptible de réussir, et plus l’harmonisation partielle excluant le pays médian est susceptible de réussir. On montre aussi que l’harmonisation fiscale partielle améliore le sort des pays membres de l’alliance, et empire le sort de ceux qui ne font pas partie de l’alliance. Voilà qui contraste fortement avec les résultats des précédentes études comme celles de Konrad et Schlelderup (1999) et Bucovetsky (2009).