Infrastructure financing needs in most low‐income countries are substantial, but funding for such needs is only partly covered by national governments and aid donors. This paper introduces foreign direct investment (FDI) through public–private partnerships as a source of infrastructure financing in low‐income countries. A two‐sector open economy model is developed to assess the macroeconomic performance of FDI in infrastructure. With efficient foreign investment, an increase in revenue‐generating infrastructure investment boosts productivity and spurs private investment while stabilizing domestic prices. A direct comparison between infrastructure financed by domestic versus foreign investment shows that foreign investment creates higher output growth and welfare gains and is preferable to domestically sourced investment, irrespective of the underlying financing instrument the domestic economy is employing. FDI in non‐revenue‐generating infrastructure is also analyzed and discussed. Obtenir de l’aide de l’étranger : la macro‐économie de l’investissement direct à l’étranger dans les infrastructures de pays à faibles revenus. Les besoins financiers des pays à bas revenus pour financer leurs infrastructures sont substantiels, mais ces besoins ne sont que partiellement couverts par les gouvernements nationaux et les donneurs d’aide. Ce mémoire présente l’investissement direct à l’étranger (IDE) à travers des partenariats publics‐privés comme une source de financement des infrastructures dans les pays à faibles revenus. On développe un modèle d’économie ouverte à deux secteurs pour évaluer la performance macro‐économique de l’IDE dans les infrastructures. À l’aide d’investissement étranger efficace, un accroissement de l’investissement dans des infrastructures générant des revenus va accroître la productivité, et stimuler l’investissement privé tout en stabilisant les prix. Une comparaison directe entre des infrastructures financées localement et par des investissements étrangers montre que l’investissement étranger crée une croissance plus forte du produit national et des gains de bien‐être, et est préférable à un investissement interne, quel que soit l’instrument de financement utilisé dans l’économie domestique. On discute aussi de l’IDE dans des infrastructures qui ne sont pas sources de revenus.