Henri Lefebvre talked of the “right to the city” alongside a right to information. As the urban environment becomes increasingly layered by abstract digital representation, Lefebvre's broader theory warrants application to the digital age. Through considering what is entailed by the urbanization of information, this paper examines the problems and implications of any “informational right to the city”. In directing Tony Benn's five questions of power towards Google, arguably the world's most powerful mediator of information, this paper exposes processes that occur when geographic information is mediated by powerful digital monopolies. We argue that Google currently occupies a dominant share of any informational right to the city. In the spirit of Benn's final question—“How do we get rid of you?”—the paper seeks to apply post‐political theory in exploring a path to the possibility of more just information geographies. Henri Lefebvre parle d'un “droit à la ville” comme allant de pair avec le droit à l'information. Alors que de plus en plus de représentations numériques abstraites se superposent à l'environnement urbain, la théorie générale de Lefebvre mérite d'être appliquée à l'ère du numérique. En se penchant sur les enjeux de l'urbanisation de l'information, cet article analyse les difficultés et les implications d'un “droit informationnel à la ville”. Après avoir posé à Google, le vecteur d'information le plus puissant du monde, les cinq questions que Tony Benn avait adressées aux détenteurs de pouvoir, le texte expose les processus dérivant de l'intermédiation de l'information géographique par de puissants monopoles numériques. Il montre que Google occupe actuellement une position dominante dans tout droit informationnel à la ville. Dans l'esprit de la question finale de Benn—“Comment peut‐on se débarrasser de vous?”—cet article vise à appliquer la théorie post‐politique afin d'explorer les voies vers des géographies informationnelles plus équitables.